L’AFNIC évoque le Second Marché

 

Par Rémy Sahuc, Directeur des Opérations Marché Francophone Sedo<o:p></o:p>

<o:p></o:p>Lors d’un atelier de presse, Mathieu Weill, <st1:personname w:st="on">D</st1:personname>irecteur Général de l’AFNIC, et Loïc <st1:personname w:st="on">D</st1:personname>amilaville, Secrétaire Général du registre français, évoquent la place des plate-formes du second marché dans la chaîne de valeur des noms de domaine.<o:p></o:p>

<o:p></o:p>A l’occasion de la publication de son rapport annuel, l’AFNIC, le registre en charge de la gestion du .fr, a organisé un atelier afin de tirer le bilan de l’année écoulée et de dresser le tableau des perspectives pour les prochains mois.<o:p></o:p>

<o:p></o:p>2006 a été une année charnière pour l’AFNIC, puisque l’extension a été ouverte aux particuliers. Le nombre d’enregistrements est ainsi passé d’un peu plus de 400 000 noms de domaine au 1er janvier 2006 à pratiquement 685 000 un an plus tard. Une tendance qui s’est confirmée par la suite puisqu’au 1er juillet 2007, plus de 830 000 noms de domaine en .fr étaient enregistrés. A ce rythme, la barre symbolique du million de noms de domaine devrait être dépassée d’ici début 2008.<o:p></o:p>

La question que se pose l’AFNIC pour continuer sur sa lancée et développer la notoriété de extension est pertinente : comment faire en sorte que les entreprises prennent davantage conscience de “l’intérêt marketing et économique de déposer des noms de domaine en .fr” ? Les noms de domaine constituent en effet un actif immatériel pour les entreprises, au sens de la norme IFRS-IAS 38. “Le nom de domaine est un actif immatériel, et dans le monde professionnel, c’est à la mode de valoriser l’immatériel. Preuve en est que dans certains cas, le nom de domaine représente plus de 50 % de la valeur de la marque. Par exemple pour Google et Yahoo, perdre le nom de domaine revient à perdre l’enseigne et la boutique”, confirme Mathieu Weill.<o:p></o:p>

<o:p></o:p>Comme la plupart des noms de domaine à forte valeur sont déjà enregistrés et que la qualité se raréfie, le second marché et ses acteurs ont un rôle important à jouer dans la fluidification du marché : “Il existe 6 ou 7 […] plates-formes dans le monde, les plus connues étant Sedo et Afternic”. Mathieu Weill ajoute : “Il faut être conscient du développement de ce second marché, l’Afnic n’est pas contre l’intégration de ces plates-formes parking.”<o:p></o:p>

<o:p></o:p>Convaincu que le premier et le second marché ont tout a gagner d’un rapprochement, Sedo se réjouit de ces déclarations et, en tant qu’acteur majeur de l’industrie, espère une concertation et une coopération encore plus approfondies avec l’AFNIC au cours des prochains mois.<o:p></o:p>

<o:p> </o:p>
Sources:<o:p></o:p>

Neteco.com<o:p></o:p>
Silicon.fr<o:p></o:p>
Vnunet.fr<o:p></o:p>

<o:p></o:p>